DÉFENSE DU PATRIMOINE

BARRIERE DE CORAIL DU BELIZE

La barrière de corail du Belize est la formation de corail la plus vivante et grande du continent American et la deuxième du monde.  Elle se trouve dans la mer des Caraïbes au large du Belize et de la péninsule de Yucatán, province du Mexique. Elle est l’œuvre des petits animaux qui construisent des amas de minéraux, qui servent ensuite d’abris pour toutes les espèces présentes. Cette merveille de la nature est caractérisée par un écosystème richissime, qui compte des centaines d’espèces de coraux et de poissons.

Malgré son inscription au patrimoine mondial de l’Unesco en 1996, le site est extrêmement fragile, vulnérable et parfois même menacé de disparaître pour différentes raisons : le nombre élevé de touristes qui visitent le site, la pollution,  par les ravages du forage pétrolier et des constructions côtières, son âge, les phénomènes du mode, le mauvais état des structures ou des bâtiments, etc. En plus, des études menées récemment en octobre de l’année dernier, révèlent que des essais sismiques pour le pétrole ont été pratiqués à un kilomètre seulement du site, ce qui est vraiment attristant.

Il faut remarquer que cette barrière de corail attire non seulement les poissons mais aussi de grands animaux tels que la mer les oiseaux, tortues, requins et d'autres qui viennent se nourrir sur les habitants plus petits. De nouvelles espèces de la faune sont découvertes dans le récif presque tous les jours, c’est pourquoi on doit à tout prix éviter son destruction.

Comme une société universelle, Il est impératif protéger la biodiversité et les écosystèmes car ces espaces nous fournissent  en tout ce dont on a besoin pour vivre, voilà pourquoi notre regard sur l’avenir est décisif par rapport  aux choix de transmission que nous faisons aux générations futures. Outre le fait que l’on a le droit de tirer profit des ressources qui se trouvent sur terre. Cependant, on a aussi le devoir de le faire de façon modérée, il n’est pas nécessaire attenter à la nature.

D’autre part, vu qu’un des facteurs qui menacent ce patrimoine naturel est le forage pétrolier il est nécessaire de mettre en œuvre des politiques volontaristes qui osent nous faire comprendre que la vraie valeur de la nature n’est pas moins que le seul et irremplaçable habitat naturel de l’homme, de même que notre rôle dans la terre est d’usager et non de consommateur.

Ce serait idéel donc d’avoir une vie où règne l’harmonie entre l’homme et la nature car la perte du patrimoine signifie la perte d'une part de notre identité.